mercredi 31 mars 2010

Fendi et LVMH

LVMH est une groupe français qui voit le jour en 1987 grâce à la fusion entre MoËt Hennessy (groupe français de Vin et Spiritueux) et Louis Vuitton, dirigé en 1989 par Bernard Arnault (première fortune française) qui devient alors le principal actionnaire du groupe. Le groupe rassemble plus de soixante marques prestigieuses tandis qu'il est organisé autour de cinque pôles d'activités (Vin et Spiritueux; Mode et Maroquinerie; Parfums et Cosmétiques; Montres et Joaillerie et Distribution sélective) qui lui ont permis de s'imposer comme le n°1 mondial du luxe.

En 1925 Adèle et Edoardo Fendi ouvre une petite boutique de sacs et un atelier de fourrure à Rome. Du fait de la qualité de leurs créations, ces dernières sont très bien accueillies par une clientèle de plus en plus nombreuse. A l'après guerre leur cinque filles intègrent l'entreprise familiale et en 1965 les soeurs Fendi font appel au talent du célèbre styliste Karl Lagerfeld qui est depuis directeur créatif du prêt-à-porter féminin (création dans les années 80 du prêt-à-porter homme/femme Fendi).



Mais ce n'est qu'en 2001 que la griffe est rachetée par le groupe LVMH qui c'est associé pour l'occasion à la célèbre marque italienne Prada, société commune à parité qui deviendra propriétaire d'au moins 51% du capital Fendi (contre 49% pour la famille fondatrice). En effet en 1998 Prada avait tenté une opération sur Gucci, le PDG de la marque n'aillant pas voulu entendre parlé d'une association avec ses compatriotes italiens. Prada avait alors vendu sa participation à Bernard Arnault qui n'avait pu empêcher en rien l'association Gucci-François Pinault.
Aujourd'hui la marque de luxe Fendi continue sont ascension puisqu'elle possède dans le monde entier pas moins de 160 magasins en noms propres ainsi que des magasins multimarques de prestige à l'international.


Une guerre indirecte est donc ouverte depuis bien longtemps entre les grands groupes de marques tel Pinault-Printemps-Redoute ou LVMH, chacun voulant les plus belles marques du marché, puisque rappelons le, le marché de la mode pèse mondialement des milliards...




mardi 30 mars 2010

Gucci et Yves Saint Laurent : deux griffes rachetées par un groupe français

Yves Saint Laurent et Gucci, deux marques qui sonnent mondialement comme raffinement français et élégance italienne.


C'est en 1921 que Guccio Gucci créait sa propre marque à Florence, d'abord comme production d'articles en maroquinerie avant de s'imposer dans la haute couture et le prêt-à-porter de luxe notamment dans les années 50, décennie au cour de laquelle s'ouvrent des boutiques Gucci dans des villes comme Milan; New-York; Londres; Palm Beach; Paris et Beverly Hills, s'imposant ainsi dans le monde entier comme symbole de luxe moderne (dans les années '70 de nouvelles boutiques voient le jour: en Extrême-Orient ainsi qu'a Hong Kong et Tokyo).
En 1994, Tom Ford (couturier et réalisateur de cinéma américain) devient directeur de la création de Gucci et insuffle à la marque un esprit audacieux et provocateur qui la rendit encore plus célèbre puisque de nombreuses stars s'affichent en Gucci, ce qui lance définitivement le couturier américain. C'est lui même qui sera choisie en 1999 par la maison Yves Saint Laurent, alors racheté par François Pinault via Gucci en 1998, pour succéder à Yves Saint Laurent.


En 1961, Yves Henri Donat Mathieu-Saint Laurent créait sa Maison de haute couture connue mondialement sous le nom de Yves Saint Laurent ou YSL (après avoir travaillé comme assistant modéliste pour le couturier Christian Dior). C'est en 1962 qu'il lance sa première collection et en 1966 qu'il invente Yves Saint Laurent Rive Gauche, le prêt-à-porter féminin de luxe, avant de se lancer en 1969 dans des collections masculines. La marque devient alors une griffe connue mondialement grâce à des égéries comme Catherine Deneuve, icone de la culture française à l'étranger dans ces années là (la marque est aujourd'hui présente dans 60 pays à travers l'Europe; les Etats-Unis; l'Asie; le Mexique; la Hongrie; la Nouvelle-Zélande...). Quand le couturier décide de quitter son activité en 1999, c'est le styliste texan Tom Ford qui lui succédera.
En effet en 1998, Gucci conclue une alliance stratégique avec le groupe Pinault-Printemps-Redoute (PPR); groupe crée par l'homme d'affaire français François Pinault lors de la fusion entre Pinault-Printemps en 1992 (Le Printemps chaîne française de magasins sur des marques de mode; de luxe et de la beauté) et La Redoute (le vendeur par correspondance), en 1994. Ainsi Gucci passe d'une société monomarque à un groupe multimarque. C'est en 1999 que PPR rachète la Maison YSL, en imposant ses nouvelles règles de gestion; de marketing et de profits et le groupe impose à la célèbre Maison française le styliste américain, directeur artistique de Gucci, Tom Ford pour la partie Prêt-à-porter Rive Gauche.
En 2005 c'est François-Henri Pinault qui succède à son père en prenant la tête du groupe qui possède nombre de marques comme Puma; Conforama, la FNAC... et qui ne compte pas s'arrêter là...

Rica Lewis e Gruppo Industria Moda (GRIM)



Il marchio fu creato nel 1928 dalla Signora Rica Levy. Stabilita a Marsiglia e lavorando nell' intendenza militare, è la prima fabbrica che commercializza il jean in Francia all'inizio del 1945. Rica Lewis diventa un attore incontestato sul mercato del jean negli anni '60-'70.
Negli anni '80 il jean si impone totalmente come un prodotto di moda .
Nel 1988 di fronte ai suoi concorrenti, Rica Lewis decide di puntare il commercio moderno (Supermercati e vendita a distanza) diventando cosi' nell'anno 2000 il numero uno del jean sul mercato francese della Grande Distribuzione Organizzata triplicando la sua cifra d'affari raggiungendo 45 milioni di euro nel 2005.


Gruppo Industria Moda nasce nel 1947 per iniziativa di Francesco e Guglielmo Riorda. Con qualità, stile, dinamismo e capacità di innovare, il Gruppo ha saputo imporsi come un leader sul mercato italiano e poi su quello internazionale. Lo scopo era di mescolare le diverse linee di abbigliamento classico, moda e sportswear con una politica di acquisizioni e partnership in modo di creare e consolidare un ruolo produttivo al livello mondiale (grazie ad un investimento nelle tecnologie più avanzate ed a une fitta rete di collaborazioni con le migliori aziende e laboratori tessili che garantiscono una qualità di primo livello).
Oggi Gruppo Industria Moda opera in 26 paesi e maneggia milioni, la sua capacità di individuare e coltivare nuovi segmenti di mercato, la sua forza industriale, il prestigio dei suoi marchi (come Carnet de Vol; Base Cotton; Chinook; Easy; INK; Robaldini...) e le prospettive di crescita futura, saranno all'altezza del suo scopo.
Cosi' nel 1988 il Gruppo compra Rica Lewis, transferando la sede della fabbrica nella città di Carros (nel Dipartimento delle Alpes-Maritimes) mentre i jean sono fabbricati in Francia; Italia; Tunisia; Eggito; Cina e Pakistan e diffusi in Francia; Italia; Portogallo; Spagna; nei paesi del Benelux e più recentemente in Russia. Nell'idea d'innovare di fronte a dei concorrenti sempre pù numerosi, il marchio si è lanciato nel 2006 nel commercio equo e nel 2011 in Rica Lewis Kids and Junior (il mercato del bambino che rappresenta molto denaro).
Nel 2009 Rica Lewis ha avuto un cifra d'affari di 41 milioni di euro e secondo Dominique Lanson (il Direttore Generale), il marchio usa non solo l'innovazione ma anche la sua immagine di fabbrica franco-italiana per mirare i mercati dove non si è ancora imposto...

lundi 29 mars 2010

Les salons de la mode

Créaient toujours l’événement !



La « semaine de la mode » ou aussi appelé la « fashion week » est un événement de l’industrie de la mode durant approximativement une semaine et qui a lieu tous les ans pour permettre aux stylistes et aux maisons de couture de présenter leurs dernières collections. Les défilés de mode sont donc à l’honneur, les plus importantes « semaines de la mode » étant celles de Paris ; New-York ; Sao Paulo ; Milan et Londres. Cette année après être passé par les villes de Sao Paulo (du 17 au 23 janvier), New-York (du 2 au 9 Février), Londres (du 18 au 24 Février) et Milan (du 24 au 1 Mars), c’est à Paris que la « semaine de la mode » (du 8 au 14 Mars) marque sa dernière escale pour son prêt-à-porter de l’automne-hiver prochain (les collections printemps-été 2010 étant étaient présentées aux cours des « semaines de la mode » fin 2009). Cet événement a lieu à huit clos devant un parterre de spectateurs triés sur le volet, tandis que des bribes de défilés sont accessibles à tous à la télé ou sur internet. C’est quelque par cette « exclusivité » qui crée l’événement et qui fait des maisons de couture et de leurs créations une vitrine inaccessible qui fait rêver.

Toute fois partout dans le monde ont lieu des « salons de la mode » qui regroupent des professionnels et ou l’on peut recevoir des invitations ou acheter des badges d’accès pour y assister. En Italie comme en France se sont dans les deux capitales de la mode qu’on lieux le plus grand nombre de salons (en comprenant les chaussures ; accessoires ; textile ; lingerie…) mais d’autres villes participent également à ces événements : Rome ; Florence ; Venise ; Turin ou encore Vérone ; Trieste ; Padoue ou Ferrare pour la péninsule, et Lyon ; Metz ; Nantes ; Saint Etienne et Toulouse entres autres pour les villes de France.
Toujours dans le domaine des salons une participation active de l’Italie au salon « Première Vison » est a noté. Il s’agit du premier salon international des tissus pour l’habillement qui regroupe des professionnels du monde entier pour une dizaine d’expositions par ans dans des villes comme Paris ; New-York ; Sao Paulo ; Moscou ou encore Bruxelles. A noter aussi qu’une coopération entre Eurovet (organisateur du Salon international de la Lingerie) et Mare di Moda-Intimo di Moda (société d’entreprises italiennes qui produit des tissus et des accessoires d’excellente qualité pour les vêtements de plage et la lingerie) est née en 2008 et continue encore aujourd’hui comme à Cannes mais surtout à Paris.



Plus avancé dans leur partenariat, la Fédération Française du Prêt-à-porter Féminin, la Fiera di Bologna (quartier de Bologne qui s’étend sur une aire de 375.000 mq qui peut accueillir plus de 16.000 exposants pour une trentaine de manifestations de foires à l’année) et Massimiliano Bizzi (propriétaire des salons de mode pointu White à Milan) avaient annoncé en 2008 la création d’un nouveau salon « Link.it.Link.fr » qui se déroulerait alternativement à Paris et à Bologne pour quatre éditions par an et qui serait présenté comme le nouveau rendez-vous fashion de l’habillement, on finalement décidé en 2010 de délocaliser ce salon à Milan durant la semaine de la mode, l’expérience à Bologne n’aillant pas permis l’internationalisation du salon tant escompté. « Link.fr » est ainsi devenu « Link Paris » et le projet « Link Berlin » a débuté en janvier 2010…

Riviste di moda francesi ed italiane

Una stampa colorita

La stampa femminile è una stampa destinata alle donne (spesso scritta da donne) che trova le sue origini dal movimento femminile che si sviluppa dappertutto nel mondo all’inizio del XVIII secolo. Infatti in questo periodo si interessa molto ai diritti delle donne ed ai loro interessi nella società civile. La stampa femminile si conta in miliardi di euro attraverso tutto il mondo, una maggior parte per le riviste di moda, la moda che ha sempre affascinata più le donne che gli uomini a corto dei secoli benché uno nuovo genere di stampa maschile stia nascendo, perché siamo in una società in cui l’uomo s’interessa sempre più alla sua apparenza.
Oggi tutta la stampa femminile (in qualsiasi paese) non puo’ parlare solamente della moda ma tocca tutti i soggetti che potrebbero interessare una donna come consigli di bellezza ; psicologia ; famiglia ; società ; cinema ; cucina ; people o ancora test e oroscopo che seducono molto le donne. Insomma una rivista che parla di tutte queste cose è une rivista che si vende bene ma la concorrenza è sempre più importante, ragione per la quale bisogna favorire l’innovazione.
In Francia gli editori Prisma Presse (fa parte del gruppo tedesco Gruner&Jahr) e Mondadori France (filiale del gruppo italiano Arnoldo Mondadori Editore) si fanno concorrenza perché hanno tutti e due il monopolo sulla pubblicazione della stampa francese, mentre il numero uno mondiale rimane l’editore francese Hachette Filipacchi Media (filiale del gruppo francese Lagadère).
Sul territorio francese le riviste femminili le più vendute sono ELLE e Marie-Claire (tutte e due pubblicate dal numero uno mondiale). La prima, ELLE, settimanale creato nel 1945 e diffuso nel mondo in 38 edizioni (anche in Italia) parla di moda; trucco; turismo; cinema; letteratura; people... Quanto alla seconda rivista femminile francese più venduta, Marie-Claire, creata nel 1937 (prima come un settimanale poi come un mensile nel 1954), parla anche essa di tutte le cose che possano interessare una donna ed è diffusa nel mondo in 24 edizioni (lanciata in Italia per la prima volta nel 1987).




Possiamo citare tante altre riviste femminili francesi comme Femme Actuelle (settimanale fondato nel 1984 ed editato da Prisma Presse); Biba Magazine (mensile creato nel 1980 ed editato da Mondadori France); Côté Femme; Version Femina...
Sul mercato della stampa femminile la Francia è alla tarza posizione dietro l’Italia e gli Stati Uniti! Infatti anche in Italia questo mercato si chiffra in milioni di euro perché le riviste femminili sono numerosi. Possimo citare Donna Moderna (fondata nel 1988) , come La rivista femminile la più acquistata dalle donne italiane, settimanale che tratta di rubriche diverse come la moda; lo sport; il cinema...




Ma ci sono anche tante altre riviste femminili che parlano di moda:
Amica (anche diffusa in Germania); Gioia; Io Donna; Anna; TU e Grazia, il periodico settimanale che ha fatto del Made in Italy la propria bandiera (fu fondato nel 1938 ed è edito da Mondadori in una decina di paesi ed esce per la prima volta in Francia in Agosto 2009).




La concorrenza sul mercato nazionale o internazionale della stampa femminile è feroce e quando una rivista non piace più al suo pubblico gli editori cercano di innovare per sedurre di nuovo il loro pubblico femminile ma non è tanto facile perché in ogni rivista dedicata alla donna si trattano le stesse rubriche ma la stampa femminile in Francia come in Italia ha ancora una lunga vita ...

mardi 2 mars 2010

Le problème du MADE IN ITALY

Une polémique très controversée


Le MADE IN ITALY remonte à un prestige antique qui se base sur une créativité mêlant qualité et inventivité. En effet c’est cette marque du 100% MADE IN ITALY qui permet d’assigner à un produit sa fabrication exclusive en Italie, à savoir une reconnaissance qui donne lieu à son italianité en dehors de toute provenance étrangère. C’est au cour de la décennie ’90 que naît cette marque d’authenticité et que voit le jour l’institut qui garantie cette certification : l’ITPI (Istituto per la Tutela dei Produttori Italiani) qui permet de garantir aux producteurs ainsi qu’aux consommateurs une authenticité des produits suite à un contrôle des filières productives italiennes. L’institut fût créé en 1999 à Fermo dans la région des Marche par des entrepreneurs et des analystes du marché européen qui élaboraient et élaborent toujours de nouvelles lois pour un marché toujours plus sûr.
L’institut s’est par la suite étendu à tous types de secteurs comme celui de la chaussure et du vêtement. En effet l’Italie est le premier pays producteur d’objets contrefaits en Europe et la contrefaçon dans le domaine de l’habillement (aussi bien les articles de mode que les vêtements de sport) est très répandue en Europe. Ce phénomène qui n’est pas récent (il est en effet apparu il y a 8000 ans lorsque l’on retrouvait des amphores gallo-romaines qui portaient des inscriptions imitant celles des vins de Campanie) est devenue un phénomène industriel et mondial mais surtout clandestin, touchant tous types de secteurs et donc inchiffrable (mais la contrefaçon se chiffre probablement en milliards d’euros). L’Italie reste « spécialisée » dans la contrefaçon de textile (comme le cuir et la soie) et d’habillement et jusqu'à ce jour aucune solution radicale n’a pu être trouvée. A cela est venu s’ajouter au cour de la décennie 2000 la polémique sur les vêtement fabriqués par des filiales italiennes à travers le monde et portant tout de même le cigle MADE IN ITALY. C’est cette notion même de marquage des produits textiles importés d’états tiers portant cette dénomination qui a fait polémique dans l’Union Européenne.
C’est pourquoi afin de trouver une solution à se problème, c’est le comité de certification ITF (Italian Textile Fashion ; organisme des Chambres de commerce chargé de la valorisation de la filière de la mode) qui a proposé en 2008 un nouveau marquage : « T&F » (Traceability&Fashion) permettant au système de la mode italien d’obtenir au niveau de l’Union Européenne l’obligation pour les marchandises en provenance de pays extra-européens d’indiquer leur origine. Mais l’affaire n’est pas si simple puisque face à cette proposition, des pays européen s’y opposent (comme l’Allemagne, la France, le Danemark, la Grande Bretagne, les Pays-Bas et la Suède), détenteurs de marques et aillant développé des stratégies de partenariat avec la rive sud de la méditerranée. En effet cette disposition risque de compromettre les implantations en Tunisie de griffes célèbres, et les pays de Maghreb estiment qu’une fois adoptée elle risquerait de les pénaliser et les discriminer mais surtout de porter un coup dur à la solidarité euro-méditerranéenne. Même si les initiateurs européens de ce projet (à savoir L’Italie) se cachent derrière de nobles principes (comme s’assurer de la bonne qualité du produit ; de sa non fabrication par des enfants ou des travailleurs forcés ; du respect des normes environnementales et de lutter contre les origines de la contrefaçon), il n’en reste pas moins que toute l’économie d’un pays est concernée (notamment pour le Maroc et la Tunisie qui font du secteur textile/habillement l’un des numéros un de leurs exportations), l’Italie n’aillant toujours pas trouvé de solution pour restituer son MADE IN tant souhaité.

lundi 1 mars 2010

Stilisti francesi e italiani

Fanno sognare i grandi come i piccoli…

Il secondo dopoguerra ha visto l’affermazione di numerosi sarti che sarebbero poi stati denominati stilisti per aver importo e diffuso nuovi stili e nuovi sistemi di proporre l’alta moda in un mondo che proponeva, sempre più, la confezione in serie. Molti di questi stilisti si formano, crescono e si affermano all’interno di grandi case di moda fondando, anche, proprie strutture imprenditoriali.

Nei tempi più recenti, la diffusione delle confezioni industriali in serie degli abiti e degli abiti informali ha reso più rara questa professione riservandola ai capi più pregiati dell’alta moda (prevalentemente femminile) e alle sartorie di fascia alta per la clientela maschile. Lo stilista non lavora da solo ma con una squadra : un modellista (che disegna e realizza i modelli d’abbigliamento da produrre) e dei confezionatori (che confezionano capi di abbigliamento). Pero’ il dirretore d’orchestra rimane lo stilista che disegna sempre lui la sua collezione per la sua sfilata di moda.


Non possiamo ignorare nomi di stilisti italiani come Roberto CAVALLI; Gianni VERSACE; Giorgio ARMANI; Nino CERRUTI; Mario PRADA; Domenico DOLCE & Stefano GABBANA e tanti altri come Salvatore FERRAGAMO o ancora Emilio PUCCI. Infatti tutti questi nomi suonano internazionalmente come sinonimo del MADE IN ITALY, di stile e di tatto unico. Hanno saputo imporsi come maestri incontestati della moda dei qualli la Francia ed altri paesi sono ghiotti. Cosi’ per esempio Roberto CAVALLI fara’ scoprire la sua marca in Francia davanti ad un pubblico di professionale nel 1970 ed è l’inizio di una carriera di leggenda che inizierà proprio in Francia.


Nel caso di Gianni VERSACE le sue numerose ricompense sono un testamento della sua notorietà come inoltre nel 1986, anno in cui è fatto Commendatore della Repubblica italiana dal Presidente della Repubblica Francesco Cossiga e nel 1988 quando è fatto Grande Médaille de Vermeil dalla città di Parigi dal sindaco Jacques Chirac. Possiamo anche citare la famosa creatrice di moda e di profumi francese Nina RICCI (del suo vero nome Maria AdélaÏde Nielli sposa di Luigi Ricci) e lo stilista francese Emanuel UNGARO, tutti e due di origine italiana che hanno pero’ saputo con un nome alla cosonanza italiana imporsi mondialmente come stilisti francesi allegando raffinatezza francese e fascino italiano.























In quanto ai stilisti francesi i nomi di Yves Saint Laurent; Christian DIOR; Coco CHANEL o ancora Jean Paul Gaultier; Christian LACROIX; Louis VUITTON non possono lasciare nessuno indifferenti. Infatti nel mondo gli stilisti francesi hanno saputo lasciare une traccia della french touch vestendo i più famosi come star del cinema o della canzone o ancora donne che fanno politica.




Anche se la moda non piace a tutti, affascina dalla sua originalità e dalla sua creatività. Cosi’ se la moda francese sa esportarsi nel mondo come quella italiana è senza dubbio grazie ad una tradizione di eleganza e di finezza che le case di moda e gli stilisti hanno saputo creare cercando sempre uno stile e une tendenza nuova perché come lo diceva la famosa Coco Chanel: “La mode passe, le style reste”.